Il y a environ 10 ans, le CNRC était « la pierre à aiguiser de l’esprit ». N’y a-t-il pas un seul couteau bien aiguisé dans le tiroir de nos jours ? Ne me faites pas rire. Je suis trop en colère pour me réjouir de leur repentir. « Les physiciens le disent depuis un an », dit l’article – c’est vrai et pas seulement les physiciens – mais les journalistes ont ridiculisé cela. Du beurre sur la tête et du sang sur les mains, comment s’en sortir ?
D’abord, ils vous contredisent, puis ils se moquent de vous, puis vous obtenez kaltgestellt et enfin ils disent qu’ils savaient déjà. Le CNRC va encore plus loin en criant « Enfin » à propos de quelque chose qu’il essaie de biner sous terre depuis un an.
Les aérosolistes chevronnés voient ce titre comme si un négationniste de l’Holocauste s’exclamait : « Hourra ! Après tout, les Allemands se sont trompés pendant la Seconde Guerre mondiale ! Quoi qu’il en soit, nous en sommes au moins à la phase finale.
« Cela a coûté des vies que nous n’ayons pas insisté sur de telles mesures supplémentaires beaucoup plus tôt et beaucoup plus. »
Daniel Bonn ne veut pas dire « nous ». Il veut dire « vous ». Après tout, lui et ses collègues insistent depuis un an sur d’autres mesures.
Le CNRC suspend la « découverte » à la dernière recherche de Daniël Bonn, en fait plutôt superflue. Il n’a fait que confirmer pour la énième fois ce qui est crié sur tous les toits depuis un an par des scientifiques de diverses disciplines : physiciens, microbiologistes, médecins, analystes de données, virologues, épidémiologistes, géographes sociaux. Ce que l’on trouve déjà dans des publications scientifiques datant de plusieurs décennies est aujourd’hui un prétexte pour le CNRC. Les bibliothèques universitaires sont depuis longtemps remplies de ce que Bonn dit et de ce qu’il peut maintenant visualiser clairement (c’est ce qu’il y a de bien avec son Vidéo du 1er février 2021). Je l’entends encore faire quelques erreurs ; Tout cela est basé sur des affirmations faites par l’Institut national de la santé publique et de l’environnement (RIVM) – mais cela viendra, tout cela est très nouveau ce qui se passe.
Cette recherche est ancienne : il y a un an déjà dans l’Op1
La dernière étude de Daniël Bonn a déjà quelques mois, mais les rédacteurs du NRC doivent être en mesure de justifier leur « découverte » par quelque chose. Cette issue était inévitable. Qu’ils aient menti pendant si longtemps est le scandale journalistique du siècle. Les rédacteurs en chef du CNRC n’ont pas seulement du beurre sur la tête, mais ils ont du sang sur les mains, et bien plus qu’ils ne le pensent maintenant. Avec un mensonge éhonté, ils essaient maintenant de sauver leur vie. Mais cette connaissance n’a pas été « récemment découverte ». Jusqu’à hier, ils ont déclaré que cette connaissance n’était pas souhaitable et ont délibérément gardé le silence parce qu’elle ne correspondait pas au discours du gouvernement. Il suffit de regarder ce que Daniël Bonn a également dit il y a un an (mai 2020) dans Op1 : Exactement la même chose. Et Bonn reste prudent, tous ceux qui authentique scientifiques (c’est-à-dire pas les responsables du RIVM) en commun – laissent toujours de la place à la dissidence.
Ou passez à la caisse la vidéo complète du 1er mai 2020 sur Youtube
Le CNRC garde toujours le silence sur des choses : KNMI, par exemple
C’est ça le journalisme. Ne vous demandez pas pourquoi cela a pris un an et parlez-en aux gens. Il est également clair pourquoi pas : le beurre sur la tête, pas un paquet mais une cargaison. C’est beaucoup, beaucoup trop tard. Ils ont dit des bêtises et des mots tordus. Censure du débat scientifique. Par exemple, le NRC ne se souvient pas de la sonnette d’alarme persistante de l’élevage de De Hond, Engel ou van Haga. Non, c’est un nouveau son.
Nous n’entendons rien non plus au sujet de la l’inculpation de l’Institut météorologique royal des Pays-Bas (KNMI) (à droite/en dessous de l’essentiel en moins de deux minutes). Cette semaine, l’Institut royal météorologique néerlandais (KNMI) a accusé l’Institut national de la santé publique et de l’environnement (RIVM) d’avoir violé les règles d’intégrité scientifique. Selon le KNMI, les mesures de l’OMT sont basées sur des impossibilités physiques.
Dans les coulisses, cela a dû provoquer beaucoup d’émoi – une fois de plus balayé sous le tapis médiatique par les grands diffuseurs. Pourtant, nous assistons soudainement à un changement dans les mesures et les médias qui tentent de rattraper leur retard. Est-ce que tout est si transparent ou est-ce que c’est juste moi ?
Quelques phrases d’un scientifique désespéré. Jos de Laat est l’invité de De Nieuwe Wereld.
Oups Jaap, voilà ta médaille...
Jaap van Dissel craint maintenant de ne pas recevoir sa médaille d’honneur. Peut-être a-t-il pris le risque de passer un coup de fil à la KNMI et cela a conduit à la tournure des événements. Il a vraiment besoin d’obtenir cette médaille d’honneur de la part de la KNAW le 31 mai, malgré le fait que sa réputation s’est considérablement estompée ces derniers jours et qu’il dirige un institut qui s’est mal comporté pendant un an avec des mesures draconiennes et des conséquences désastreuses. Le plus important est ce qui a permis que tout cela se produise : le RIVM n’a tout simplement pas respecté les directives d’intégrité scientifique de l’Académie royale néerlandaise des arts et des sciences (KNAW). Cela a conduit à une vision étroite et à des erreurs capitales. Cette accusation vient maintenant aussi du KNMI, où ils savent tout, des gouttelettes au brouillard en passant par l’humidité. Je suis sûr que Jaap van Dissel ressent aussi l’humidité en ce moment. Il devra sans doute s’orienter un peu plus vers les aérosols (et l’intégrité), mais en tout cas, il ressort de ses interviews et des textes sur le site du RIVM qu’ils n’y comprennent pas grand-chose pour l’instant.
Bientôt, le CNRC dira simplement qu’il l’a toujours pensé à propos de ces aérosols. Et le lecteur du CNRC hoche la tête avec satisfaction : quel journal sage.