Des chiffres précis sur la couverture vaccinale sont essentiels pour tirer des conclusions sur l’efficacité des vaccins. Ce n’est qu’en choisissant la bonne valeur que l’on peut tirer les bonnes conclusions. À la fin de cet article, nous ne pouvons tirer qu’une seule conclusion : les vaccins n’offraient plus aucune protection depuis au moins la mi-2022. À moins que le choix ne se soit porté sur les vaccins comme élixir de vie... Un article d’Herman Steigstra en collaboration avec Anton Theunissen.
Chiffres de Statistics Netherlands
Les chiffres supplémentaires de l' Publication de CBS du 23 février s’avèrent être une mine d’or d’informations. Nous avons déjà écrit à ce sujet. Il a été démontré que l' Efficacité négative au cours des 4 premières semaines et l' Perte de protection depuis le booster de 2022.
Bekend is inmiddels dat 7% van de gevaccineerden zich niet heeft laten inschrijven in het CIMS-registratiesysteem en dat is cruciaal bij het vaststellen van de juiste effectiviteit van het vaccin. Deze overlijdens werden< op deze wijze als ongevaccineerd geteld en dat leidt tot een overschatting van de werkzaamheid van de vaccins: er leken meer ongevaccineerden overleden dan verwacht. Zeker omdat de groep ongevaccineerden erg klein is ten opzichte van de gevaccineerden tikt dat zwaar aan.
Hans Verwaart a publié un article à ce sujet sur son substack au titre éloquent : Il s’agit de ces 7 %. Il expose le rôle crucial que joue la couverture vaccinale dans le calcul de la valeur de l’EV. Hans va même jusqu’à utiliser un modèle qui divise 7 % entre les différents groupes d’âge, une hypothèse évidente. Les jeunes seront plus critiques à l’égard de leur vie privée que les personnes plus âgées. Mais la question cruciale reste de savoir quelle est la bonne couverture vaccinale pour chaque groupe d’âge.
Couverture vaccinale
Entre-temps, un peu plus de perspicacité a été acquise. Ces 7 % semblent s’appliquer principalement jusqu’au moment de la vaccination de rappel. La vaccination d’un grand nombre de personnes a pris fin en avril 2022. Statistics Netherlands (CBS) écrit à ce sujet dans son Rapport daté du 26 juin 2022:
Certaines personnes vaccinées n’ont pas non plus l’enregistrement de la série de base, mais la vaccination de rappel est enregistrée dans le CIMS.
CBS Rapport daté du 26 juin 2022
Ainsi, à partir de mai 2022, nous pourrons à nouveau oublier ces 7 %. Nous allons faire le calcul. En supposant que la vaccination n’affectera guère le modèle de mortalité, le taux de mortalité des personnes vaccinées sera égal à la couverture vaccinale pour tous les décès. Ce pourcentage peut être calculé à partir du rapport CBS en question (voir CBS a révélé l’efficacité du vaccin) et nous obtenons alors ce graphique :
Nous comparons cette couverture vaccinale reconstituée (en noir) avec les chiffres publiés par le RIVM (en bleu). Cette ligne représente la moyenne pondérée de la couverture vaccinale dans 5 cohortes d’âge. Ici, nous voyons l’arriéré administratif comme une différence entre les lignes bleues et noires. Ce n’est qu’en mai 2022 que les lignes se rejoindront et que l’arriéré semble avoir été rattrapé.
En décembre 2021, le taux de vaccination (la ligne bleue) est constant et s’établit en moyenne à 89 %. Sur la base du rapport entre la mortalité vaccinée et la mortalité totale (la ligne noire), on arrive à 88,8 %, mais une petite différence ! Ruben van Galen se retient son Tweet à 87 %. C’est proche l’un de l’autre. Nous nous en tiendrons à ces 89 % pour l’instant.
On voit donc bien ici que jusqu’en mai 2022, l’administration du CBS n’a pas suivi le rythme de la couverture vaccinale réelle. En raison de l’absence de statut vaccinal, une proportion très importante des décès liés aux vaccins a été attribuée à tort à des personnes non vaccinées.
L’élixir de vie effet
L’absence d’enregistrement dans la base de données du CIMS a de lourdes conséquences. Sur la base de ces chiffres, le RIVM tire une conclusion particulière. Dans leur rapport Vaccination contre la COVID-19 et mortalité en 2022 L’Institut national de la santé publique et de l’environnement (RIVM) écrit que la vaccination réduit également le risque de mortalité, quelle que soit la cause du décès, jusqu’à un facteur 3. C’est curieux, car la mortalité totale en 2022 est supérieure de près de 10 % à la normale. Cela ne peut que signifier que, aux yeux du RIVM, le risque que les personnes non vaccinées meurent, par exemple, d’un cancer a triplé depuis l’arrivée des vaccins.
Les résultats de cette recherche ont été présentés par Susan van den Hof à l’occasion de l' Conférence ZonMw du 5 mars 2019 Malgré les critiques de l’auditoire, le RIVM s’en est tenu à l’effet élixir des vaccins. C’est très spécial pour une organisation qui représente aussi la science.
L’impact de la couverture vaccinale
Nous supposons donc un taux de vaccination de 89 %. Nous devons nous rendre compte que « l’effet Healthy Vaccinee » (HVE) joue également un rôle à cet égard. C’est l’effet que les personnes en bonne santé sont plus susceptibles de se faire vacciner que les personnes en mauvaise santé. En conséquence, le groupe des personnes non vaccinées comprend plus de personnes malades et vulnérables avec un risque plus élevé de décès. Le risque plus faible de décès des personnes vaccinées peut alors facilement être considéré comme un effet des vaccinations. De petites différences d’un pour cent dans la couverture vaccinale ou HVE donnent déjà une différence de 10% dans le taux de mortalité. Nous y reviendrons plus tard.
Nous sommes les premiers à constater que pendant l’été, la surmortalité chez les personnes vaccinées est presque la même que chez les personnes non vaccinées et suit le même schéma. Pendant la vague de chaleur (presque), les deux groupes meurent de la même manière. Nous constatons également que la mortalité due au covid-19 suit le même schéma, à la fois vacciné et non vacciné : la vaccination ne fait aucune différence ici. Moins de personnes vaccinées meurent (la ligne pointillée rouge), mais la question est de savoir si elles mourront plutôt, par exemple, d’une pneumonie classique. En d’autres termes, ne regardons-nous pas seulement les décès rencontré corona (« l’ami du vieil homme ») ?
À partir de la fin du mois de septembre, lorsque la nouvelle vague de vaccinations commencera, nous constatons que les lignes verte et rouge divergeront. Il y a 10% de mortalité en plus chez les personnes vaccinées que chez les personnes non vaccinées. Il semble donc très probable que le vaccin ait joué un rôle dans la surmortalité. Pendant la période de vaccination, nous constatons déjà plus de décès, mais lorsque la grippe émerge à la fin du mois de décembre, nous ne la voyons initialement que dans les décès parmi les vaccinés.
Malheureusement, les chiffres de décès dans le rapport du CBS ne vont que jusqu’à la fin de l’année 2022 et nous aimerions bien sûr voir la poursuite de cette épidémie de grippe. Les épidémiologistes expliquent que la vaccination a affaibli le système immunitaire et qu’elle est donc plus sensible aux infections telles que la grippe.
Couverture vaccinale réelle
Hans Verwaart a déjà montré que la répartition de la couverture vaccinale au sein de la population est cruciale. Il joue un rôle prépondérant dans le calcul de l’EV. Une différence de 1 % dans la couverture vaccinale fait déjà une grande différence. Par exemple, nous lisons que le CBS a ensuite ajusté les chiffres de vaccination sur la base de la composition actuelle de la population au lieu de celle du 1er janvier 2020. Avec un taux de croissance démographique de 0,5 % par an, cela fait en soi plus d’un pour cent. Ensuite, il y a l’effet vaccinal sain (HVE), ce qui signifie que les personnes en bonne santé sont vaccinées plus souvent que les personnes vulnérables. Vous vous êtes fait vacciner pour avoir le droit de partir en vacances, ou de chanter avec votre club de chant, des gens en bonne santé. En outre, la question se pose toujours de savoir si le CIMS a puits 100% des vaccinations ont été enregistrées. Beaucoup de choses restent floues.
Si l’on considère très prudemment ces effets à seulement 1 %, le graphique change immédiatement radicalement :
Aujourd’hui, tout d’un coup, nous constatons que la surmortalité chez les non-vaccinés se transforme en sous-mortalité. Ce sont désormais les vaccinés qui sont entièrement responsables de la surmortalité inexpliquée à laquelle nous assistons.
Mais nous choisissons nous-mêmes cette conclusion, en supposant que 88 % est le taux de vaccination correct. Nous aurions également pu choisir de supposer que le taux de vaccination était de 90 %. Ensuite, la surmortalité inexpliquée serait en grande partie supportée par les non-vaccinés. C’est aussi un choix, de voir le vaccin comme un élixir de vie. Petites différences d’hypothèses, conclusions contradictoires.
Quel que soit le choix que nous ferons, l’effet de la vaccination à partir de la mi-septembre peut continuer à être considéré comme une augmentation du taux de mortalité des personnes ayant reçu une dose de rappel par rapport à celles qui n’ont pas reçu la dose de rappel. L’objectif de la série de rappels en septembre était d’améliorer la résistance au SARS-Cov-2, mais même cela n’est pas visible : cela n’a pas réduit le risque de mourir du covid-19.
Conclusion
Le choix de la couverture vaccinale à utiliser détermine la valeur calculée de l’EV et donc le succès ou l’échec des vaccins. Si nous optons pour 89%, alors nous n’avons pas bénéficié des vaccinations à l’été 2022. Depuis la vaccination en septembre 2022, nous avons même constaté un effet négatif.
Si l’on opte pour 88 % (on suppose donc que l’HVE et l’administration incomplète jouent également un rôle), alors la surmortalité inexpliquée de 10 % est entièrement imputable aux vaccinés.
Si l’on opte pour un taux de vaccination de 90 %, alors la vaccination semble être une sorte d’élixir de vie : elle réduit les chances de mourir de n’importe quelle cause : c’est aussi un choix.
Si nous choisissons un taux de vaccination réaliste, c’est-à-dire qui ne semble pas fonctionner comme un élixir de vie, alors nous n’avons vu que des effets négatifs des vaccinations depuis 2022.
Il est affligeant de constater que les choix qui sont faits déterminent l’issue de la protection. L’image de la « Science » est ainsi réduite à un instrument où la politique semble déterminer l’issue en coulisses : élixir de vie ou nocif pour notre santé.
J’aimerais voir les chiffres de la sur/sous-mortalité d’Urk !
Heureusement pour le gouvernement, l’enregistrement est bâclé et il y a des personnes non vaccinées. Sinon, la conclusion était inévitable : c’était au détriment de la vie et de la santé.
Je me demandais depuis un certain temps dans quelle mesure l’affirmation de cet « effet vaccinal sain » était solide. Trouvé une étude récente https://www.ijidonline.com/article/S1201-9712(24)00046-8/fulltext avec une conclusion tranchante.
Maar ook daarin wordt niets gezegd over vaccinatie zelf als oorzaak van overlijden. (Men onderscheidt 3 groepen: no vax, 0 – 4 wk na vax en > 4 wk na vax.) In elk geval interessant leesvoer.
(Je voulais juste écrire « comme une cause possible ».)
Je me demande si Vaccinee en bonne santé pourrait avoir un effet, en particulier au début du programme de vaccination (par opposition au début du programme de vaccination). L’hypothèse de Ruben van Galen selon laquelle ce sont toujours les moins bien portants qui se font vacciner). À mon avis, il était plus difficile pour eux de se rendre seuls dans les lieux de vaccination massivement visités (avec des files d’attente).
À la fin du programme de vaccination, cet effet pourrait bien s’être transformé en un effet vaccinal malsain parce qu’un plus grand nombre de personnes (p. ex., celles couvertes par la Loi sur les soins de longue durée) étaient encore vaccinées à ce moment-là.
Cette option a-t-elle été envisagée comme une co-explication ?
Nous ne nous préoccupons même pas de savoir quel pourcentage est le plus correct, mais qu’il y a une incertitude cachée dans les chiffres. La recherche de la « couverture vaccinale la plus plausible » semble plus pertinente. Mais plus important encore, c’est en fin de compte une bataille pour le petit nombre. La vaccination donne-t-elle maintenant une protection de 10 % ou de -10 % ? Les 95 % qu’on nous avait promis ont complètement disparu de l’image